Je dédicace la photo de Muriel et René á Mr et Mme Meert-Daenen qui ont soutenu l’étape de ce jour. Si certaines photos dédicacées sont le fruit du hasard, ce n’est pas le cas de celle-ci. Ce couple qui respirait la complicité s’est montré sincèrement et intensément touché par l’accident de Maxime et je suis donc vraiment ravi qu’ils puissent servir à remercier le soutien à cette journée.

Nous avons pour notre première journée de marche à trois eu droit à un magnifique soleil qui malgré l’application de crème solaire nous laissa des traces à différents degrés. Ce n’est pas encore l’été et pourtant je vous assure qu’il frappe déjà fort. J’en arriverais presque à regretter les journées grises et fraîches d’Espagne☺.
La marche  d’aujourd’hui a été différente des autres jours. Non pas que nous parlions moins, mais qu’il arrive que pour un temps le trio devienne duo et que l’un ou l’autre décide de prendre un peu d’avance ou de retard afin de pouvoir jouir de quelques moments de solitude. Et comme les sujets de discussions restent nombreux et que notre concentration sur le chemin s’en voit diminuée, il arriva ce qui devait arriver… Marc et moi nous sommes trompés de route, ce qui nous valu 3 ou 4 km complémentaires de marche tout sauf bucoliques le long de la route assez fréquentée menant á Navarrenx (notre étape du jour). Le trio s’est reformé vers 17h. Damien qui était tout heureux en train de boire une petite bière de fin d’étape s’est en effet rendu compte qu’il s’était arrêté de manière erronée☺. Marc et moi sommes donc arrivés finalement avant lui… pour demain nous allons essayer de faire mieux…
Si certains sujets de discussions ont été très sérieux, la journée a été baignée dans une franche bonne humeur ponctuée de vrais fou rires 😃.
Nous avons clôturé par une petite visite de Navarrenx et pris un très correct repas pèlerins á 13 euros au Restaurant le Saint Jacques.

A très bientôt pour de nouvelles aventures.
Nb : J’avais décidé de vous explique les règles de base de la pelote basque, mais notre rencontre avec un spécialiste m’en a dissuadé. Les variantes sont tellement nombreuses que je ne suis pas sûr d’y arriver avant Aqaba☺

Je dédicace la photo de ce jour á Christophe qui a soutenu cette étape champêtre. C’est Maïté une habitante d’Ostabat qui a accepté de se faire prendre en photo pour l’occasion.

Encore une très belle journée de marche d’environ 30 km dans un paysage très vallonné avec les Pyrénées en fond de toile.
Journée aussi á nouveau particulière car elle marque l’arrivée ce soir de notre troisième équipier☺. Nous sommes donc á présent au complet.

Je voudrais vous parler ce soir de l’Eusko et des coïncidences amusantes de ces deux derniers jours.
1) Les coïncidences sont quand même vraiment étranges et amusantes sur ce chemin. Je vous cite quatre exemples depuis hier.
A) Première coïncidence : Nous avons croisé ce serpent hier. La sœur de la première personne chez qui nous avons demandé si elle savait quelle était cette variété de serpent était prof de biologie du coin et a su nous répondre précisément.
B) Deuxième coïncidence : Damien et moi avons beaucoup parlé de développement personnel. Cette fin de matinée, nous avons rencontré et discuté longuement avec un couple de marcheurs originaires de Nantes qui étaient tous les deux dans le domaine du coaching en développement personnel (cfr photo).

C) Troisième coïncidence : J’ai remarqué cette petite affiche sur l’eusko à l’office du tourisme de Saint Palais. Au moment ou je demandais des explications á la préposée, la responsable de la promotion de l’eusko rentrait dans l’office du tourisme. Elle a pu donc répondre à toutes nos questions.

D) Quatrième coïncidence : Au moment ou je demandais á une habitante de Saint Palais si elle pouvait nous renseigner sur l’emplacement de l’arrêt de bus pour que Marc nous rejoigne à Aroue, elle nous a appris que son mari partirait exactement á la bonne heure et pouvait déposer Marc de manière entièrement bénévole.
2) L’eusko (se prononce euchko) (cft photos) est une monnaie locale qui a court dans le pays basque français. La valeur de cette monnaie est équivalente à l’euro. 1 eusko est égal à un euro. Spécificité, vous ne pouvez vous servir de cette monnaie d’échange que dans les commerces affiliés. Il y a environ 450000 euskos en circulation de cette monnaie mise en circulation depuis 3 ans. Objectif : Favoriser les achats locaux. Les commerçants qui acceptent l’eusko sont catégorisés de 1 á 3 en fonction de leur connaissance du basque. Pour info, de nombreux français ne sont pas au courant de l’existence de cette monnaie.
Si vous souhaitez échanger des euskos contre des euros, vous perdez une sorte de commission de banque.

Je vous transmets quelques photos de paysages de ce jour.

A très bientôt. Michel

Je dédicace la photo de ce jour à Raoul et Huguette qui ont soutenu cette étape. C’est Jacob, un pèlerin Polonais qui a accepté gentiment de poser pour l’occasion. Jacob est parti de Pologne en vélo il y a environ 1 mois et à lâché celui-ci á Lourdes pour poursuivre le chemin à pieds jusqu’à Santiago. Ce voyageur au long court prendra ensuite le chemin vers la Thaïlande, l’Inde, la Mongolie…
Je dédicace aussi la photo des pèlerins de ma journée de « congé maladie » d’hier á mon neveu Bertrand qui fête son anniversaire ce jour. Ces deux pèlerins vraiment très sympathiques s’appellent Anton et Sylvia (Allemagne et New Zealand).

Je vous avoue que la journée d’hier ne fût pas très productive… A part quelques courses et courtes promenades, j’ai passé la plupart de mon temps dans mon lit. Et je pense que j’ai bien fait. J’ai pris mon début de grippe comme un signal que mon corps m’envoyait.
Ce jour est cependant á marquer d’une croix blanche : c’est en effet l’arrivée de mon ami Damien et ma rupture avec un mois de marche en solitaire.
Après une nuit plus ou moins correcte due à un gros ronfleur, nous sommes partis de Saint Jean pour une étape de 25 km en direction d’Ostabat. Il faut avouer que sa compagnie donne des ailes. C’est vrai que l’étape ne fût pas très longue, mais elle est passée tellement vite… pas besoin de se motiver en cas de petit coup de pompe. Nos sujets de discussion se sont enchaînés naturellement si bien que ces 25 km ont ressemblé á une marche dominicale autour des étangs Mellaerts ☺.
Je vous transmets quelques photos en annexe
1) La pelote basque : un sport qui est encore très pratiqué et véritable tradition de la région.

2) Deuxième serpent dont je croise la route. C’était une couleuvre qui sortait d’hibernation et qui déployée devait faire un mètre au bas mot.

3) Deux photos vous prouvent l’attention et la bienveillance accordées aux pèlerins. Des arbres fruitiers sont plantés tout spécialement en bord de chemin et des particuliers aménagent chez eux des haltes ou nous pouvons prendre un en cas « donativo » et éventuellement acheter des produits locaux. Donativo signifie que vous vous servez et laissez un montant á votre entière discrétion. Il n’y a absolument aucun contrôle.

4) Forteresse Vauban à St Jean et 5) Paysage du jour :

A bientôt, pour le compte rendu de la prochaine étape.
NB : Les communications n’étant pas du tout d’aussi bonne qualité qu’en Espagne, il se peut que vous receviez assez fréquemment mes comptes rendus avec un peu de retard.

Je dédicace la photo de ce jour à Christian qui a soutenu cette étape mythique. C’est Olivier, un pèlerin français que j’ai rencontré dans le petit village espagnol de Burguete qui a posé gentiment pour la photo. Petit clin d’œil à Christian, je viens de terminer (avec modération) une bouteille de single malt scotch whisky de 14 ans d’âge en son honneur (il ne restait qu’un fond qui m’ été offert par des pèlerins anglais). Et puis comme j’ai un début de grippe, cela ne peut qu’aider à tuer les microbes😉.

Je dédicace une deuxième photo pour l’anniversaire de mon neveu Nathan☺. Ces cannelés sucrés et salés étaient un délice…

C’est un jour de fête aujourd’hui. Je suis en effet passé les Pyrénées et me trouve à présent sur le sol français (toujours en pays basque)☺. J’ai effectué environ 850 km en Espagne et attaque à présent les 1250km que j’ai à réaliser en France avec pour premier objectif les plateaux de l’Aubrac…
J’aurai de la compagnie pour mon début de parcours sur le sol français : Mon ami Damien me rejoindra demain et Marc (le papa de Maxime) après demain. Je m’en réjouis d’avance .
Juste pour info, j’étais censé dormir á Roncesvalles ce soir mais j’y suis arrivé très tôt ce matin et je n’ai pas pu résister à l’appel de la montagne. Un petit rayon de soleil semblait de plus m’encourager à reprendre la route. La journée ne fût pas de tout repos. Seulement 33 km mais avec un dénivelé positif total d’environ 600m, et pire encore, environ 1200m de dénivelé négatif. Et je peux vous certifier que tant les montées que les descentes sont impressionnantes.
Je vous envoie deux photos du paysage de la journée, une de moi, une de l’entrée de Saint Jean Pied de Port et une de l’abbaye de Roncesvalles.

Demain sera un jour off, mais j’aurai peut être des choses à vous dire où vous montrer.
A bientôt pour de nouvelles aventures.

Je dédicace la photo de ce jour á Jacques qui a soutenu cette étape de préparation au passage des Pyrénées. Patrick, Jean-Pierre, Daniel et Marie-Hélène, quatre joyeux basques de la région de Bayonne ont gentiment accepté de poser pour l’occasion. Ils transmettent toute leur sympathie á Maxime.Je dédicace une autre photo á mon ami Jean-Paul qui fête son anniversaire aujourd’hui. J’ai pensé à lui en dinant seul dans les montagnes ce midi.

Belle étape ce jour. Départ sous un ciel vraiment couvert de Cizur Menor vers 7h30, entrée mais sans m’arrêter dans la ville de Pamplona et puis montée par un temps assez ensoleillé en direction de Bizkarreta où j’espérais terminer l’étape de ce jour. J’ai cependant eu le même souci qu’il y a quelques jours à Hornillos : L’auberge était complète. J’ai donc fait 5 km de plus pour arriver à Espinal. Je ne vous cache pas que j’étais un peu cuit en arrivant après 43 km et environ 600m de dénivelé.
J’avoue que je suis un grand amateur de montagne et que c’est le genre d’étape où je me régale. Je suis le maillot à pois du Camino Frances ☺.
Comme j’ai eu une grosse journée, je vous laisse déjà et vous envoie quelques photos, dont deux de paysages et deux vous prouvant que je suis bien en pays basque (cfr fronton de pelote basque et indication des rues dans les deux langues).

A demain pour ma dernière étape en Espagne .

Je remercie Gilles d’avoir soutenu l’étape de ce jour. Voici Mattias, un pèlerin italien en vtt qui a gentiment accepté que je le prenne en photo.
La longue étape de ce jour ( environ 42km) est une de mes préférées. La vue des hauteurs entre Puente la Reina et Pamplona est vraiment de toute beauté (cfr photo). Cela ne donne malheureusement pas grand-chose en photo😩.

J’ai décidé que ce jour serait dédié aux portes. Je vous en présente quelques unes glanées ces derniers jours. J’aurais pu en proposer des dizaines d’autres. Pour info, la plupart sont des portes d’habitations privées. Il y en a une qui sort du lot et qui est celle d’un bâtiment administratif á Burgos. Je vous la présente cependant car je trouve que c’était indiscutablement une œuvre d’art.

Je vous transmets quelques autres photos :
– J’ai croisé pour la première fois la route d’un petit serpent ce matin et j’ai vu le premier panneau indiquant Jérusalem ☺.

– L’intérieur des églises (ici Puente la Reina) est d’un luxe qui ferait pâlir de jalousie nos églises belges. On aime ou pas, mais c’est en tous les cas un spectacle.

– Une vue de l’entrée de la ville de Puente la Reina.

Ce sera tout pour aujourd’hui, il est en effet 21h et je commence à piquer du nez☺ . Bonne soirée à tous et à demain pour une des dernières étapes en Espagne.

La photo de ce jour est dédicacée à un donateur anonyme qui a soutenu cette belle journée.C’est Sandra une américaine ayant vécu à Paris qui a gentiment accepté de se prêter à ce cérémonial á présent bien rôdé.

Je remercie aussi Louise (qui est intermittente du spectacle á Paris) de m’avoir consacré une partie de son temps en fin de journée. Cela m’a permis de passer une avant soirée vraiment sympa. c’est tellement agréable de pouvoir converser dans sa langue maternelle☺.

La journée fût baignée dans une épaisse couverture nuageuse mais cela ne m’empêche pas de rester néanmoins un inconditionnel de cette partie de l’Espagne. Le paysage varie en permanence, on sent la proximité des montagnes et surtout j’approche de la première grande étape de ma longue marche.

J’ai en effet découpé mes 7000km en étapes afin de créer des objectifs plus « atteignables » que Jérusalem. Ces premières étapes sont les Pyrénées, l’Aubrac, le Puy en Velay, les Alpes et bien sûr Sienne ou je rejoindrai Maxime.
Je ne peux manquer pour clôturer cette journée de vous montrer la fontaine la plus singulière du parcours. C’est une fontaine de vin qui se trouve à Estella. Comme il n’y avait personne, j’ai pu me resservir 2 fois ☺

A demain !

Désolé pour le retard mais le wifi a été coupé avant que je puisse envoyer l’étape 23.Je dédicace la photo de ce jour à un généreux donateur anonyme. C’est Clive, un pèlerin anglais très sympathique qui s’est prêté à ce cérémonial quotidien.

Même si la grosse journée d’hier ne m’avait laissé aucunes séquelles particulières, j’avoue que cette journée fût physiquement plus difficile que les autres… le corps a ses raisons que la raison ignore.
Je croise beaucoup moins de pèlerins à présent. Un grand nombre de personnes partent en effet de Burgos. Mes journées sont donc encore plus solitaires, ce qui n’est pas toujours pour me déplaire. Cette partie de l’Espagne est en effet une de mes préférées et cela me permet de profiter pleinement des paysages.
La météo fût parfaite. Fraîche le matin et très beau soleil tout l’a/m.
J’ai recroisé mes deux pèlerins autrichiens ce soir et nous nous sommes donné rv pour un repas d’adieu á Estella demain soir. Ils quittent en effet la voie que je vais poursuivre. J’avoue que cela me fait un petit coup au moral. Je m’étais en effet habitué á nos rencontres épisodiques. Qui sait, je croiserai peut-être un pèlerin pour Jérusalem á Saint Jean Pied de Port…

Je vous ai ajouté quelques images de la journée dont celles très belles églises se Logrono et Vento.
A demain.

Je remercie mon parrain et Bénédicte pour avoir soutenu cette belle étape. Je leur dédicace la photo de Rocco et son fils venus d’outre atlantique. J’ai beaucoup apprécié la soirée que j’ai passée en leurs compagnie. Rocco est entre autre et à la foi jovial, cultivé et très impliqué dans le soutien aux malades du cancer.

L’étape de ce jour fût parfaite : Départ de Granion sous un ciel couvert et un peu de pluie, mais j’ai eu droit ensuite à de très belles éclaircies dans l’a/m. Fin de marche avec un peu de vent mais plus de pluie. Une météo qui convenait parfaitement pour ma plus longue étape depuis le début de l’aventure (45,5 km dans mon guide).

L’auberge de Granion ou j’ai logé hier est une de mes préférées sur le Camino Frances. L’accueil de Patt et Ken y est incroyable. Avant même de faire le check in, on vous propose une tasse de thé et de se mettre devant le poêle à bois. Patt et Ken viennent des EU pendant quelques semaines chaque année comme accueillants.
L’auberge est un bâtiment situé dans l’enceinte de l’église du 16ème siècle et une porte permet d’ailleurs un accès direct dans celle-ci.

Le repas que les pèlerins mangent ensemble est partiellement offert par la boulangerie qui n’a qu’une seule exigence : Les pèlerins, en guise de remerciement, doivent venir chercher leur souper en chantant dans les rues du village☺. L’ambiance était vraiment á la bonne humeur…

Au moment du départ, Patt et Ken entonnent une chant différent pour chaque pèlerin. Ce chant résonne dans les escaliers centenaires qui mènent à l’extérieur de l’auberge. C’est vraiment un moment très particulier…
C’est un endroit que je quitte pour la deuxième fois avec nostalgie.

Je glisse de plus deux photos des panoramas de ce jour.

On se retrouve demain☺

Je dédicace la photo de Luigi, un pèlerin lyonnais à Jean-Louis qui a soutenu l’étape de ce jour. Il avait souhaité l’étape de Castrojeriz, mais je suis deux jours en avance et j’espère qu’il ne m’en voudra pas de ce petit changement. Je penserai néanmoins à lui quand je partirai de Castrojeriz…

Même si l’étape du jour ne fût pas très longue en terme de distance, elle fût rendue ardue par un très fort vent de face qui souffla toute la matinée. J’ai juste pu profiter d’1/4 d’heure de soleil en tout début de journée.

Étant pressé par le gérant de l’hôtel de terminer au plus vite hier soir, je n’ai pas eu le temps de vous parler d’une photo prise dimanche dans les rues de Burgos (cfr photo). Il ne faisait pas très beau ni très chaud et pourtant, dès 18h, les rues et places ont commencé à se remplir. La vie ici est vraiment différente de chez nous. En France et en Belgique , les rues se vident en fin de journée. Ici c’est réellement le contraire. Les gens sortent dans les rues, vont boire un verre et ne rentrent chez eux que vers 22h même le dimanche. C’est vraiment très agréable.

Je n’ai croisé que peux de gens qui n’utilisaient pas le traditionnel sac á dos. Vous trouverez en annexe les photos deux autres techniques.

Chaque moyen de transport offre des avantages mais a aussi son lot de désavantages. Le sac á dos classique permet le passage quel que soit la pente et le type de chemin mais par contre fatigue plus le porteur, ses muscles et ses articulations. Les carrioles, charrettes et caddies sont par contre beaucoup plus confortables sur du chemin plat, mais sont difficiles en terrain caillouteux. Chaque choix offre donc des avantages et des désavantages. C’est une leçon que j’ai apprise à mes dépends la nuit passée. J’étais arrivé assez tôt á l’auberge ce qui fit que j’eu l’opportunité de choisir mon lit. Ayant remarqué qu’il n’y avait qu’ un seul lit qui était équipé d’une prise, j’ai bien sûr porté mon choix sur celui-là. Bien mal m’en a pris pour deux raisons : La première fût que tout le monde fit la queue devant mon lit pour charger gsm et autres appareils électriques. La seconde plus désagréable encore fût qu’á cinq heure trente du matin, un pèlerin me réveilla avec sa lampe frontale. Il souhaitait charger son gsm avant de partir.
Un homme averti en vaut deux et on ne m’y reprendra plus ☺.

Je vous glisse aussi une photo en compagnie de Jurica, un pèlerin venu á pied de Croatie et deux de mon auberge d’hier. C’était la première fois que je logeais en *** ☺ et je n’ai vraiment pas honte.

Bonne nuit et á demain.
Michel